Notre navigation :
Longueur du parcours : 1000 km
Dénivelé : 180 m
Le fleuve retraverse la frontière zambienne peu avant les chutes Chavuma et s’écoule alors dans une vaste région de plaines fluviales accidentées et sablonneuses, la plus grande étant celle du Barotseland. La région, inondée pendant l’été, reçoit les alluvions qui la rendent fertile. Les principaux affluents sont le Kabompo, venu de l’est, et le Lungué-Bungo (ou Lungwebungo), plus large, sur la rive occidentale.
Un tiers de notre parcours se déroule ainsi à travers une plaine inondée à la saison des pluies, mais nous partons à la saison chaude et sèche.
Plus bas, le Zambèze entre dans une série de rapides qui s'étend des chutes Ngonye, au niveau du village de Sioma, jusqu’à ceux de Katima Mulilo. Il sert ensuite de frontière, sur près de 130 kilomètres, entre la Zambie, au nord, et l’est de la bande de Caprivi Zitfeld (Namibie), au sud.
Dénivelé : 180 m
Le fleuve retraverse la frontière zambienne peu avant les chutes Chavuma et s’écoule alors dans une vaste région de plaines fluviales accidentées et sablonneuses, la plus grande étant celle du Barotseland. La région, inondée pendant l’été, reçoit les alluvions qui la rendent fertile. Les principaux affluents sont le Kabompo, venu de l’est, et le Lungué-Bungo (ou Lungwebungo), plus large, sur la rive occidentale.
Un tiers de notre parcours se déroule ainsi à travers une plaine inondée à la saison des pluies, mais nous partons à la saison chaude et sèche.
Plus bas, le Zambèze entre dans une série de rapides qui s'étend des chutes Ngonye, au niveau du village de Sioma, jusqu’à ceux de Katima Mulilo. Il sert ensuite de frontière, sur près de 130 kilomètres, entre la Zambie, au nord, et l’est de la bande de Caprivi Zitfeld (Namibie), au sud.
Il nous est impossible de planifier à l’avance nos différents lieux de bivouac, qui dépendront du nombre d’heures que nous auront pagayé, de l’état des berges, etc. L’idéal est en tout cas d’installer le camp dès 15h00, d’établir une bonne réserve de bois et de démarrer le feu, une façon de marquer notre territoire vis-à-vis des bêtes.
Il nous a cependant paru utile de repérer un certain nombre de « points de passage/repère » significatifs le long de notre route.
Les voici (ils sont reportés en rouge sur les cartes ci-dessous, malheureusement pas en haute définition) :
Il nous a cependant paru utile de repérer un certain nombre de « points de passage/repère » significatifs le long de notre route.
Les voici (ils sont reportés en rouge sur les cartes ci-dessous, malheureusement pas en haute définition) :